Mes randonnées au Cap-Vert : je réponds à vos questions!
Vous avez été tellement nombreux à me poser des questions sur mon voyage au Cap-Vert. C’est super! Je suis vraiment heureuse de voir que ça vous intéresse autant. J’ai eu un énorme coup de cœur pour ce pays qui porte très bien son nom!
Voici, en rafale, quelques réponses aux questions les plus populaires :
- J’y suis allée pour faire de la rando! Je suis partie 10 jours au mois d’octobre, incluant le transport aérien, et j’ai fait 6 jours de randonnée.
- Tout a été organisé par l’agence Terres d’Aventure (@terresdaventure), qui est spécialisée dans les voyages à pied. Nous avions une guide qui nous a pris en charge dès notre arrivée au Cap-Vert et qui s’est occupée de toute la logistique sur place. Mon itinéraire détaillé est disponible sur le site web de l’agence.
- En moyenne, je faisais entre 4 et 6 heures de randonnée par jour, principalement le matin. Ça laissait amplement le temps en après-midi pour faire une sieste et/ou profiter de la plage!
- Il faisait beau et chaud, entre 27 et 30 °C avec un ciel bleu. Comme la saison des pluies se termine en août/septembre, il y avait zéro probabilité d’averse.
- J’étais sur l’île de Santo Antão et c’était très sécuritaire, même le soir. C’est une destination très peu touristique, alors les gens étaient vraiment authentiques et accueillants. Les paysages étaient magnifiques, encore plus que je l’imaginais. Ça faisait mal aux yeux tellement c’était beau!
Ça résume assez bien mon aventure, mais n’hésitez pas si vous avez d’autres questions. Cette destination gagne vraiment à être connue. Le paradis, je vous dis!
Suite à mon voyage à vélo en Autriche, vous avez été plusieurs à me poser des questions sur les réseaux sociaux. J’ai décidé de réunir celles qui étaient revenues le plus souvent et de vous offrir toutes les réponses en vrac!
- Ce voyage a été entièrement planifié par Ekilib (@ekilib_surlaroute), un service personnalisé œuvrant dans l’organisation de voyages à vélo à travers le monde. Ils ont bâti l’itinéraire, choisi les hébergements et pris en charge le transport des bagages d’un hôtel à l’autre. Tout ce que j’avais à faire, c’était de pédaler… et de profiter!
- Je n’étais pas en groupe. C’était un voyage organisé, mais en formule libre. Simplement expliqué, mon amie et moi n’avions qu’à choisir notre destination et nos dates, puis eux s’occupaient du reste. Une fois sur place, nous pouvions partir à vélo quand bon nous semblait et pédaler à notre rythme, tout en suivant les indications fournies par l’équipe chez Ekilib. Le meilleur des deux mondes, selon moi!
- J’ai transporté mon propre vélo dans l’avion, du Québec à l’Autriche. Mon amie a plutôt loué un vélo sur place. Si vous désirez apporter votre propre vélo en voyage, assurez-vous d’avoir un étui de protection. Il existe plusieurs modèles, et il est même possible d’acheter usager ou d’en louer un pour la durée du voyage. Vous aurez également à démonter certaines parties du vélo pour qu’il rentre dans l’étui, puis à le remonter une fois arrivé à destination. Il faut donc être bien outillé! Au moment de réserver vos vols, assurez-vous de sélectionner l’option mentionnant que vous voyagez avec de l’équipement sportif (les frais varient selon la compagnie aérienne).
- J’ai fait 350 kilomètres en 6 jours. La plus courte journée était de 35 kilomètres et la plus longue journée était de 80 kilomètres. Ce sont des voyages « sur mesure », donc il serait tout à fait possible de faire le même trajet en plus de jours, pour faire moins de kilomètres à chaque jour.
- Il n’y a pas d’âge pour ce type de voyage! J’ai vu plein de petites familles et de retraités, alors osez vous lancer! Il y avait également autant de gens qui utilisaient un vélo de route qu’un vélo électrique. Ce qu’il y a de rassurant, c’est qu’on peut arrêter autant de fois qu’on veut, où on veut, pourvu qu’on se rende à notre destination à la fin de la journée. Et il n’y pas de gros dénivelé : c’est relativement plat, avec quelques faux plats!
- On était presque toujours sur une piste cyclable. À part à Linz et à Vienne, où il y avait plus de circulation, on cohabitait rarement avec les voitures. D’ailleurs, les paysages étaient magnifiques. On roulait presque toujours le long du Danube, et on croisait des vignobles, des vergers, des champs, des villages… On en avait plein la vue à chaque fois!
- C’était super sécuritaire, je ne me suis jamais sentie en danger. On avait même un numéro d’urgence à appeler en cas de problème avec le vélo. Il faisait chaud (autour de 30 °C), mais c’était mon choix de faire le voyage en août. En septembre et octobre, c’est moins chaud et tout aussi beau!
Voilà! Un gros wow en ce qui me concerne! J’ai adoré mon voyage et je reviens au boulot ressourcée. N’hésitez pas si vous avez d’autres questions!